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  • : Le livre d'heures de Dom Bosco
  • : Commentaires au hasard des actualités, par un père et ses jeunes fils qui vont chercher l'info au lieu d'absorber passivement celle qu'on leur sert.
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7 septembre 2014 7 07 /09 /septembre /2014 17:07

Parasol.jpg

 

Dans la banlieue de Londres, les secours ont dû intervenir pour sauver un chaton qui s’était coincé la tête dans le trou à parasol d’une table en bois.
 
Ce minou de huit mois s’était introduit dans un abri de jardin du quartier de Lee à Lewisham, un des arrondissements londoniens. Il a manifestement voulu passer par le trou du parasol pour sortir de sous la table. Mal lui en prit : sa tête est restée coincée et il n’a pas pu se dégager.
 
Fort heureusement pour lui, il s’est mis à miauler à fendre l’âme et un bipède qui passait dans la rue a prévenu une société protectrice des animaux. Quand les secours sont arrivés à pénétrer dans l’abri, le chaton était épuisé et luttait toujours pour se décoincer, mais il était encore vivant.
 
Ils ont fait intervenir un vétérinaire de l’association Celia Hammond Animal Trust qui lui a administré un sédatif. Les secours n’ont ensuite plus eu qu’à démonter la table planche par planche jusqu’à dégager le col du chaton.
 
Personne ne sait combien de temps le pauvre chaton est resté là avant que le passant le découvre. Il a été examiné par un vétérinaire et se porte bien.
 
C’était un chaton sauvage. Personne ne s’était inquiété de sa disparition, sauf probablement sa mère.
 
Les membres de l’association Celia Hammond Animal Trust l’ont recueilli dans leur refuge et lui font partager la cage de Marina, un autre petit chat noir du même âge avec qui il s’entend bien. Ils espèrent que les deux kitties trouveront un foyer d’adoption qui les prendra tous les deux.
 
La mésaventure du chaton lui a donné son nom : il a été baptisé Parasol.
 




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24 juillet 2014 4 24 /07 /juillet /2014 01:06

chats_croquettes.jpg

 

Une vieille dame a été condamnée à 500€ d’amende pour avoir nourri les chats errants de son voisinage.
 
L’affaire a eu lieu dans un quartier d’immeubles de Mâcon. L’aimable retraitée, elle-même propriétaire de quatre matous, pensait faire œuvre charitable en laissant quelques croquettes et jattes de lait à l’intention des chats errants de son quartier.
 
Pendant quelque temps, personne n’y a rien trouvé à redire. Jusqu’à ce que la vieille dame déménage, laissant les minous du quartier en manque de croquettes errer en quête de leur pitance disparue, au grand dam de certains habitants de l’immeuble. Une charmante ex-voisine l’a alors dénoncée, amenant la vieille dame à comparaître à la barre du tribunal.
 
En France, les gestes répétés et continus concernant l’assistance à animal en difficulté sont interdits. Cette interdiction est justifiée par le risque de transmission de maladies infectieuses (toxoplasmose, maladie des griffes du chat…). Leur prolifération à proximité de lieux fréquentés par des enfants (écoles, jardins publics) est également susceptible de poser des problèmes d’hygiène, les bacs à sable servant alors de caisse à chats.
 
La retraitée amoureuse des chats a donc été reconnue coupable d’un délit et a été condamnée à 500€ d’amende.
 
Depuis que cette histoire a été rendue publique, il se murmure que certains habitants du quartier continuent à nourrir les chats sauvages. Mais ils le font discrètement, pour ne pas se faire pincer.
 


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13 juin 2014 5 13 /06 /juin /2014 01:53

Poppy.jpg

 

La chatte Poppy, qui avait atteint l’âge incroyable de 24 ans, est morte.
 
Elle était née en février 1990 et a été officiellement reconnue comme le chat le plus vieux du monde en mai 2014.
 
Elle a connu cinq premiers ministres britanniques et vivait chez Jacqui West et ses deux fils Joe et Toby à Bournemouth sur la côte sud de l’Angleterre.
 
Depuis une semaine, elle était sous antibiotique. Jacqui la savait malade et affaiblie.
 
Elle est morte le vendredi 6 juin 2014 vers 15h30, entourée de l’affection de sa maîtresse.
 
L’espérance de vie d’un chat est normalement d’une quinzaine d’années. Les 24 années de la vie de Poppy sont équivalentes à 114 ans d’une vie d’homme.
 
Jacqui West n’a pas voulu publier la marque des croquettes et des terrines qu’elle lui donnait et qui lui ont apparemment bien réussi.
 


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