Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le livre d'heures de Dom Bosco
  • : Commentaires au hasard des actualités, par un père et ses jeunes fils qui vont chercher l'info au lieu d'absorber passivement celle qu'on leur sert.
  • Contact

Recherche

Archives

8 mai 2013 3 08 /05 /mai /2013 14:46

chats_Grece.jpg
 

« Un chat ne change pas. C’est le monde qui change autour du chat. »

 

 

Hugo Pratt

 


Partager cet article
Repost0
9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 04:24

Margaret_Thatcher.jpg
 

Un petit florilège des citations de la Dame de Fer (1925-2013) qui vient de s’éteindre…
 
« Ce n’est pas de la chance. Je l’ai mérité ! »
Phrase prononcée en recevant un prix à l’école. Elle avait neuf ans.
 
« Il n’y a pas d’alternative. »
Phrase prononcée à plusieurs occasions au sujet de sa politique économique et qui lui a valu son sobriquet de Tina (initiales de « There is no alternative »).
 
« Non, je ne suis pas dure. Je suis effroyablement tendre. Mais je ne me laisserai pas harceler. »
Une interview de 1972.
 
« Il se passera des années, et je ne verrai pas ça de mon vivant, avant qu’une femme dirige le parti ou devienne premier ministre. »
Un discours de1974.
 
« Que nos enfants grandissent, et que certains soient plus grands que les autres s’ils ont cela en eux. »
Un discours aux USA en 1975.
 
« J’ai cette capacité féminine de m’accrocher à un boulot et de le mener à terme alors que d’autres s’en détournent et l’abandonnent. »
Un discours, 1975.
 
« Je me présente à vous ce soir en robe de chambre en mousseline verte, avec un peu de maquillage sur le visage et ma coiffure délicatement ondulée. La Dame de Fer de l’Occident ? Moi ? Une combattante de la Guerre Froide ? Eh bien soit ! Si c’est ainsi qu’ils entendent interpréter ma défense des valeurs et des libertés fondamentales de notre façon de vivre… »
Un discours de 1976 après que le Kremlin l’a surnommée la Dame de Fer.
 
« La Grande Bretagne n’est plus dans la politique de l’équilibre, elle est dans la politique de la roue à cliquet. »
Discours à l’Institut des Relations Publiques, 1977, pour dénoncer la politique du « toujours plus » des syndicats.
 
« Je peux faire confiance à mon mari pour qu’il m’empêche de tomber de sommeil en public. Il sait taper aux bons endroits. »
Une interview, 1978.
 
« Les votes ne tombent pas des arbres comme des prunes mûres. Il faut se battre pour les obtenir. »
Meeting privé des candidats conservateurs avant les élections générales de 1979.
 
« Toute femme qui comprend les problèmes qu’il y a à conduire une maison comprendra mieux les problèmes qu’il y a à conduire un pays. »
Campagne électorale, 1979.
 
« Si une femme sans idéal comme Eva Peron peut aller aussi loin, imaginez jusqu’où je vais pouvoir aller avec tous mes idéaux ! »
Interview, 1980.
 
« J’adore la discussion, j’adore le débat. Je ne veux pas que les gens s’assoient là et soient d’accod avec moi, ce n’est pas leur rôle. »
Interview, 1980.
 
« A tous ceux qui attendent, en retenant leur souffle, que je prononce la petite phrase qui fera la une des médias, je veux dire : que je fasse machine arrière, je n’ai qu’une chose à dire : faites-le si vous voulez. La Lady n’est pas pour les demi-tours. »
Discours à la conférence du Parti Conservateur, 1980.
 
« Personne ne se serait souvenu du Bon Samaritain s’il n’avait eu que des bonnes intentions. Il avait l’argent, aussi. »
Interview télévisée, 1980.
 
« Un crime est un crime, un point c'est tout ! »
Conférence de presse en Arabie Saoudite, 1981, rejetant toute justification politique au terrorisme de l’IRA.
 
« Nous devons nous réjouir de cette nouvelle. »
au sujet de la reprise de l’île de la Géorgie du Sud lors du conflit des Malouines en 1981.
 
« Nous savions ce que nous avions à faire. Nous sommes allés le faire, et nous l’avons fait. La Grande Bretagne est à nouveau grande. »
Commentaire à la fin de la guerre des Malouines.
 
« En politique, si vous voulez parler de quelque chose, demandez-le à un homme. Si vous voulez faire quelque chose, demandez-le à une femme. »
Discours, 1982.
 
« La bataille pour le droit des femmes a été largement gagnée. »
Interview, 1982.
 
« L’argent ne tombe pas du ciel. Il doit être gagné sur cette terre. »
Interview, 1982.
 
« Je ne dois rien à la libération de la femme. »
Interview, 1982.
 
« Les valeurs victoriennes étaient celles en vigueur quand notre pays est devenu grand. »
Interview TV, 1982.
 
« On me présente comme le plus grand des petits dictateurs, ce qui est ridicule. On a toujours besoin de l’avis des autres. »
Interview, 1983.
 
« C’est nous le vrai mouvement pour la paix ! »
Interview, 1983.
 
« Oh, je suis pleine de faiblesses humaines. Qui n’en a pas ? »
Interview, 1983.
 
« Et pour quelle récompense devons-nous nous battre ? Rien de moins que l’espoir de bannir de notre pays les nuages sombres qui sèment la discorde du socialisme marxiste. »
Discours aux conservateurs écossais, 1983.
 
« Le Système National de Santé (la sécurité sociale britannique) est en sécurité entre nos mains. »
Conférence du Parti Conservateur, 1983.
 
« Le socialisme d’état est totalement étranger à la pensée britannique. »
Interview, 1983.
 
« Les jeunes ne devraient pas rester oisifs. C’est très mauvais pour eux. »
Interview, 1984.
 
« J’aime être au centre des choses. »
Interview, 1984.
 
« C’est un homme avec lequel je peux travailler. »
Après sa première rencontre avec le président de l’URSS Mikhaïl Gorbatchev.
 
« C’est à l’aune de l’indignation que nous avons tous ressentie. Et le seul fait que nous soyons tous rassemblés ici, choqués mais calmes et déterminés, est un signe que non seulement cette attaque a échoué, mais que toutes les tentatives d’abattre la démocratie par le terrorisme échoueront. »
Conférence des conservateurs, 1984, quelques heures après l’attentat à la bombe de Brighton où elle a failli mourir.
 
« C’est un jour que je n’aurais pas dû vivre. »
Le dimanche suivant l’attentat à la bombe de Brighton.
 
« Je pense que, devant l’histoire, le terme "Thatchérisme" sera pris pour un compliment. »
Discours, 1985.
 
« Quoi ? Chez Marks and Spencers, of course. Qui ne le fait pas ? »
Quand on lui demandait où elle achetait ses sous-vêtements, 1986.
 
« Je me fiche de savoir si mes ministres parlent beaucoup, du moment qu’ils font ce je dis. »
Interview, 1987.
 
« La Société n’existe pas en tant que telle. Il y a des individus hommes et femmes, et il y a des familles. »
Interview, 1987.
 
« Je suis sûre que nous allons gagner ces élections avec une majorité confortable. Ce n’est pas de l’optimisme aveugle de ma part. »
Commentaire au cours de la campagne électorale de 1987 qu’elle a remportée haut la main.
 
« Je crois que je suis devenue une sorte d’institution. Vous savez, ce genre de truc que les gens s’attendent à voir un peu partout. »
Discours, 1987.
 
« Si nous avions suivi l’exemple de la France et si 60% de notre électricité était d’origine nucléaire, nous n’aurions pas de problèmes environnementaux. »
Discours, 1988.
 
« Il y a un problème avec l’eau anglaise ? »
Quand on lui a présenté une bouteille de Perrier lors d’un repas en 1989.
 
« Nous sommes grand-mère. »
A la naissance de son petit-fils Michael en février 1989.
 
« Le Chancelier est indéboulonnable. »
Commentaire sur Nigel Lawson, Chancelier de l’Echiquier (ministre des finances), deux jours avant qu’il ne démissionne du gouvernement en 1989.
 
« Je continue à me battre. Je me bats pour gagner. »
Déclaration du 21 novembre 1990 après qu’elle a été forcée à un deuxième tour aux élections de son parti, élections dont elle s’est finalement retirée avant qu’elles aient lieu.
 
« Après avoir largement consulté mes collègues, j’en suis arrivée à la conclusion que l’unité du parti et les perspectives de victoire aux élections générales seraient meilleures si je démissionnais, pour permettre à mes collègues de se présenter au poste de chef du parti. »
Déclaration faite le lendemain de son renoncement, qui lui permis de ne jamais être battue dans des élections.

 


Partager cet article
Repost0
6 mars 2013 3 06 /03 /mars /2013 03:35

Michel Onfray« La sphère médiatique ne pense pas, c’est d’ailleurs ce qui la caractérise, elle émet des slogans. La vieille idée que le pouvoir suppose d’être « sévèrement burné » (pour citer Bernard Tapie […]) et qu’une guerre fournit la meilleure injection de testostérone constitue le degré zéro de la pensée. »
 
 
Michel Onfray
 
 
 
Partager cet article
Repost0